De nombreuses publications donnent une liste des pays du monde, mais elles n'utilisent pas toutes les mêmes critères pour inclure ou non un pays. Un critère courant mais flou est la reconnaissance du pays par la communauté internationale[1],[2].
Les Palestiniens continuent de réclamer Jérusalem-Est comme leur capitale. Mais la partie orientale de la Ville Sainte a été annexée unilatéralement par Israël en 1980, et Ramallah, siège de l'Autorité palestinienne, est devenue, au moins temporairement, une capitale de facto.
Liste Des Pays Du Monde Et Leur Capitale 11.pdf
Dès 2018, il y avait donc 12 PMA admissibles ou préadmissibles au reclassement. Si on ajoute ces 12 cas dans lesquels les critères de reclassement sont remplis à celui des deux pays qui ont obtenu leur reclassement depuis 2011 (Guinée équatoriale et Samoa), et compte tenu du fait que le Soudan du Sud a été ajouté à la catégorie en 2012, le bilan global du reclassement en 2018 est que les critères de reclassement ont été atteints par 29 % des PMA.
L'évolution rapide des technologies et la mondialisation ont créé de nouveaux enjeux pour la protection des données à caractère personnel. L'ampleur de la collecte et du partage de données à caractère personnel a augmenté de manière importante. Les technologies permettent tant aux entreprises privées qu'aux autorités publiques d'utiliser les données à caractère personnel comme jamais auparavant dans le cadre de leurs activités. De plus en plus, les personnes physiques rendent des informations les concernant accessibles publiquement et à un niveau mondial. Les technologies ont transformé à la fois l'économie et les rapports sociaux, et elles devraient encore faciliter le libre flux des données à caractère personnel au sein de l'Union et leur transfert vers des pays tiers et à des organisations internationales, tout en assurant un niveau élevé de protection des données à caractère personnel.
Eu égard aux valeurs fondamentales sur lesquelles est fondée l'Union, en particulier la protection des droits de l'homme, la Commission devrait, dans son évaluation d'un pays tiers, d'un territoire ou d'un secteur déterminé dans un pays tiers, prendre en considération la manière dont un pays tiers déterminé respecte l'état de droit, garantit l'accès à la justice et observe les règles et normes internationales dans le domaine des droits de l'homme, ainsi que sa législation générale et sectorielle, y compris la législation sur la sécurité publique, la défense et la sécurité nationale ainsi que l'ordre public et le droit pénal. Lors de l'adoption, à l'égard d'un territoire ou d'un secteur déterminé dans un pays tiers, d'une décision d'adéquation, il y a lieu de tenir compte de critères clairs et objectifs, telles que les activités de traitement spécifiques et le champ d'application des normes juridiques applicables et de la législation en vigueur dans le pays tiers. Le pays tiers devrait offrir des garanties pour assurer un niveau adéquat de protection essentiellement équivalent à celui qui est garanti dans l'Union, en particulier quand les données à caractère personnel sont traitées dans un ou plusieurs secteurs spécifiques. Plus particulièrement, le pays tiers devrait assurer un contrôle indépendant effectif de la protection des données et prévoir des mécanismes de coopération avec les autorités de protection des données des États membres, et les personnes concernées devraient se voir octroyer des droits effectifs et opposables ainsi que des possibilités effectives de recours administratif et juridictionnel.
La Commission devrait surveiller le fonctionnement des décisions relatives au niveau de protection offert par un pays tiers, un territoire ou un secteur déterminé dans un pays tiers, ou par une organisation internationale, et surveiller le fonctionnement des décisions adoptées sur la base de l'article 25, paragraphe 6, ou de l'article 26, paragraphe 4, de la directive 95/46/CE. Dans ses décisions d'adéquation, la Commission devrait prévoir un mécanisme d'examen périodique de leur fonctionnement. Cet examen périodique devrait être effectué en consultation avec le pays tiers ou l'organisation internationale en question et tenir compte de l'ensemble des évolutions présentant un intérêt dans le pays tiers ou au sein de l'organisation internationale. Aux fins de la surveillance et de la réalisation des examens périodiques, la Commission devrait prendre en considération les observations et les conclusions du Parlement européen et du Conseil, ainsi que d'autres organes et sources pertinents. La Commission devrait évaluer le fonctionnement desdites décisions dans un délai raisonnable et communiquer toute conclusion pertinente au comité au sens du règlement (UE) no 182/2011 du Parlement européen et du Conseil établi en vertu du présent règlement, au Parlement européen et au Conseil.
En tout état de cause, lorsque la Commission ne s'est pas prononcée sur le caractère adéquat du niveau de protection des données dans un pays tiers, le responsable du traitement ou le sous-traitant devrait adopter des solutions qui garantissent aux personnes concernées des droits opposables et effectifs en ce qui concerne le traitement de leurs données dans l'Union une fois que ces données ont été transférées, de façon à ce que lesdites personnes continuent de bénéficier des droits fondamentaux et des garanties.
Lorsque des données à caractère personnel franchissent les frontières extérieures de l'Union, cela peut accroître le risque que les personnes physiques ne puissent exercer leurs droits liés à la protection des données, notamment pour se protéger de l'utilisation ou de la divulgation illicite de ces informations. De même, les autorités de contrôle peuvent être confrontées à l'impossibilité d'examiner des réclamations ou de mener des enquêtes sur les activités exercées en dehors de leurs frontières. Leurs efforts pour collaborer dans le contexte transfrontalier peuvent également être freinés par les pouvoirs insuffisants dont elles disposent en matière de prévention ou de recours, par l'hétérogénéité des régimes juridiques et par des obstacles pratiques tels que le manque de ressources. En conséquence, il est nécessaire de favoriser une coopération plus étroite entre les autorités de contrôle de la protection des données, pour les aider à échanger des informations et mener des enquêtes avec leurs homologues internationaux. Aux fins d'élaborer des mécanismes de coopération internationale destinés à faciliter et à mettre en place une assistance mutuelle internationale pour faire appliquer la législation relative à la protection des données à caractère personnel, la Commission et les autorités de contrôle devraient échanger des informations et coopérer dans le cadre d'activités liées à l'exercice de leurs compétences avec les autorités compétentes dans les pays tiers, sur une base réciproque et conformément au présent règlement.
Afin de favoriser l'application cohérente du présent règlement, le comité devrait être institué en tant qu'organe indépendant de l'Union. Pour pouvoir atteindre ses objectifs, le comité devrait être doté de la personnalité juridique. Il devrait être représenté par son président. Il devrait remplacer le groupe de protection des personnes à l'égard du traitement des données à caractère personnel institué par la directive 95/46/CE. Il devrait se composer du chef d'une autorité de contrôle de chaque État membre et du Contrôleur européen de la protection des données ou de leurs représentants respectifs. La Commission devrait participer aux activités du comité sans droit de vote et le Contrôleur européen de la protection des données devrait disposer de droits de vote spécifiques. Le comité devrait contribuer à l'application cohérente du présent règlement dans l'ensemble de l'Union, notamment en conseillant la Commission, en particulier en ce qui concerne le niveau de protection dans les pays tiers ou les organisations internationales, et en favorisant la coopération des autorités de contrôle dans l'ensemble de l'Union. Le comité devrait accomplir ses missions en toute indépendance.
Lors de sa première réunion à Berlin en 1999, le G20 a été conçu comme un forum d'autorités économiques et financières dont le but est d'améliorer la coordination des politiques de croissance et la gestion des crises financières, ainsi que de réduire les abus et les activités illicites dans le système financier. C'est une enceinte qui, par ailleurs, reconnaît le rôle des pays émergents, dont la taille ou l'importance stratégique ont une incidence sur une économie mondialisée. En 2008, la crise mondiale a conduit les dirigeants des pays du G20 à se réunir au plus haut niveau. Depuis lors, ce forum s'est imposé comme le principal groupe de discussion économique à l'échelle mondiale, devant le G8 et le G8+5.
Impossible de traiter les merveilles du patrimoine mondial sans évoquer les sept merveilles du monde antique. En voici la liste, avec de longues explications à leurs sujets, des détails sur le contexte de leurs constructions, sur leurs rôles, les évènements durant leurs vies, les personnalités en rapport avec ces monuments, et même des informations sur les fouilles archéologiques dont elles font l'objet !
Vous avez aussi la liste des 7 merveilles du monde moderne. Il s'agit d'une liste établie par un organisme privé, récemment. Elle n'a donc rien à voir avec l'UNESCO. D'ailleurs les procédés utilisés pour choisir quels monuments allaient pouvoir en faire partie ont été décriés. Malgré tout cette liste a été promulguée, et il est impossible de la contester à présent. C'est pas grave dans la mesure où elle n'a aucune valeur patrimoniale puisqu'elle n'a pas été établie par un organisme international public, au-dessus de tout soupçons. 2ff7e9595c
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